” Prenant le chiffre de 1700 milliards d’euros, Laurence Parisot a affirmé qu’ avec une telle somme « nous pourrions acheter deux fois le CAC40″, ou les neuf plus grandes entreprises au monde. ”
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Cela montre à quel point cet endettement est une fiction comptable qui ne correspond à aucune créance réelle, mais dont le but est de soutirer légalement des dizaines de milliards d’euros au Trésor public.
Cela montre aussi que l’État pourrait facilement nationaliser les entreprises du CAC40 pour les obliger à revenir à leurs missions fondatrices: servir l’intérêt public français.
Il ne faut pas oublier que Saint-Gobain a été fondé à l’inititative de l’État français pour cesser d’importer du verre d’Italie et en produire en France: Colbert a fait venir des verrier de Venise et créé la manufacture royale. Même chose pour EdF, Total, le Crédit Agricole, Aérospatiale,…
Actuellement, ces entreprises suivent la voie de la Compagnie Générale des Eaux transformée en VIVENDI par Jean-marie Messier, elles augmentent les tarifs de leurs clients qui sont des abonnés captifs, pour étendre leur activité dans le monde entier. C’est l’abonné de la Compagnie des eaux et d’EdF qui financent dans leurs factures de consommation cette folie des grandeurs, et toutes les pertes.